Portraits de polytechniciens Xtraordinaires #15

« Il ne suffit pas d’entrer à l’X pour sortir de l’ordinaire »

Voici la dernière moisson de polytechniciens, jeunes et vieux, qui ont attiré mon attention au cours du mois écoulé. Une année 2023 qui commence bien. Et j’en ai encore pas mal sous le pied !

Max Barel en Grand uniforme © Max Barel par Janine Portal, 1951. Musée de l’Armée
  • Max Barel (X 33), résistant
Plaque située rue Max Barel à Menton

Né à Menton en 1913, Max Barel suit des études secondaires au collège de Nice. Il entre en math spé à Saint Louis en 1931. Reçu à l’X en 1933, il y fonde une cellule communiste : le cercle d’études marxiste. Lieutenant d’artillerie en 1940, il reçoit la croix de guerre avec étoile d’argent durant la bataille de France. Après la défaite, il refuse de prêter serment à Pétain et demande un congé d’armistice. Après des études à l’Institut électrotechnique de Grenoble en 1941, il entre aux Ateliers de construction électrique Delle à Villeurbanne, tout en étant commandant FTP (Francs-Tireurs et Partisans, branche communiste de la Résistance) et fondateur de l’UCIFC (Union des cadres industriels de la France combattante). Arrêté à Lyon le 6 juillet 1944 par la Gestapo, il y meurt le 11 juillet 1944 sous la torture, après cinq jours d’interrogatoire mené par Klaus Barbie. Il avait deux enfants, Annette et Jean. Son père, Virgile Barel, député communiste de Nice de 1936 à 1939 et réélu plusieurs fois de 1946 à 1978, n’aura de cesse qu’il y ait un Procès Barbie, afin que justice soit faite contre le boucher de Lyon.

  • Karim Beguir (X 97), intelligent
Karim Beguir

Franco-Tunisien, Karim entre à l’X en 1997 après une prépa à Janson. Il passe en 2003 un Master en mathématiques appliquées et finance à NYU en double diplôme avec l’ENSAE. En 2014, il fonde avec 2000 € et 2 ordinateurs InstaDeep, une start-up spécialisée dans l’intelligence artificielle, qui devient rapidement un des leaders de l’IA appliquée à la santé, aux transports et à la logistique, avec des bureaux à Paris, Boston, Tunis, Lagos, Dubaï et Le Cap. Instadeep a été sélectionnée à 3 reprises par CB Insights comme l’une des 100 start-ups d’IA les plus prometteuses au monde

Instadeep développe des produits d’IA brevetés tels que sa plateforme de conception de protéines DeepChain et collabore avec de grands groupes comme Google, DeepMind, Nvidia et Intel. Elle a de nombreuses cordes à son arc, comme l’optimisation du trafic ferroviaire à très grande échelle avec la Deutsche Bundesbahn ou le système de détection des variants du Covid avec BioNTech, la biotech allemande qui a fait fortune avec le vaccin à ARN Messager contre le Covid. Entrée dans le capital d’Instadeep au début de 2022, à l’occasion d’une levée de fonds de 100 M$, BioNTech annonce aujourd’hui l’acquisition de la totalité d’Instadeep pour 636 M€. Voir l’interview de Karim sur BFM dans Good Morning Business du 26 janvier.

  • Jean-Michel Bismut (X 67), mathématicien
Jean-Michel Bismut

Né en 1948 à Lisbonne, Jean-Michel Bismut entre à l’X en 1967 et en sort dans le Corps des mines. Après un doctorat d’Etat en mathématiques à Paris VI et quelques années de service à Marseille, il enseigne à l’X de 1975 à 1987 et à Orsay à partir de 1981. Il a reçu en 1984 le prix Montyon et en 1990 le prix Ampère de l’Académie des sciences, dont il est membre depuis 1991. Il est également membre étranger de l’académie des sciences américaine et il a reçu en 2021 avec Jeff Cheeger le prix Shaw, sorte de médaille Fields asiatique, pour leurs idées remarquables qui ont transformé la géométrie moderne, notamment en matière d’optimisation stochastique et de de géométrisation des probabilités.

Jean-Michel a écrit des centaines d’articles et des dizaines de livres depuis Mécanique aléatoire (1981) jusqu’à Hypoelliptic Laplacian and Bott-Chern cohomology (2013). Cliquez ici pour plus de détail sur ses impressionnants travaux.

  • Jean-Paul de Gaudemar (X 67), francophone
Jean-Paul de Gaudemar

Né en 1947, Jean-Paul de Gaudemar entre à l’X en 1967. Après un doctorat d’État en sciences économiques et l’agrégation en sciences économiques et de gestion, il commence sa carrière en 1971 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne avant d’être nommé en 1976 Professeur de sciences économiques à l’université d’Aix-Marseille. Il a ensuite été directeur puis président du comité scientifique de la Datar (1982-94), recteur de l’académie de Strasbourg (1991-97) puis de Toulouse (1997-2000), directeur de l’enseignement scolaire au ministère de l’Éducation nationale (2000-04) puis recteur d’Aix-Marseille (2004-12).

De 2012 à 2015, Jean-Paul est successivement conseiller éducation auprès de Jean-Marc Ayrault, conseiller spécial au cabinet de Geneviève Fioraso puis conseiller enseignement supérieur et recherche auprès de Najat Vallaud-Belkacem. Il est nommé en 2015 recteur de l’Agence universitaire de la francophonie.

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels « La mobilisation générale » (1979), « L’Ordre et la production » (1982), « Dimension régionale et compétitivité internationale » (1989) et « Mobilité du travail et accumulation du capital » (2015). Il vient d’écrire Francophonie meurtrie (l’Harmattan, 2022).

Si je ne craignais pas de passer pour un vulgaire délateur, je lui signalerais que Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, s’est adressé en anglais devant un public majoritairement francophone lors de la Conférence de Paris le 15 décembre dernier à l’OCDE, dont le français est pourtant l’une des 2 langues officielles. Mais il n’était pas le seul : un débat entre 4 grands patrons français, animé par une journaliste française, s’est déroulé également en anglais. J’ai sauvé l’honneur en réussissant à convaincre Maurice Lévy, patron de Publicis, qui intervenait ensuite, de faire son intervention en français ! 

  • Julien Gavaldon (X 99), patriote
Julien Gavaldon

Après des études secondaires à Villefranche de Rouergue, dans la France profonde, et une prépa à Toulouse, qui ne l’a pas empêché de pratiquer snow-board, rap, tennis ou cinéma, Julien entre à l’X en 99. A sa sortie, il entre chez Akka technologies de 2004 à 2009 avant de passer 4 ans chez Alten, à la tête de la direction aéronautique spatial défense. Il est depuis 2014 président du directoire d’Astek, un groupe indépendant spécialisé en ingénierie, en conseil en technologie et en système d’information, créé en 1988. Un des leaders du marché, Astek est en forte croissance et a aujourd’hui plus de 7.000 collaborateurs dans 19 pays : 2500+ en France, 1500+ en Pologne, 500+ en Amérique du Nord, 300+ en Asie et au Moyen-Orient.

A la tête d’un groupe d’investisseurs polytechniciens qui se qualifient de « patriotes » – rien à voir avec le microparti de Florian Philippot –  dont Olivier Dellenbach (X 81), fondateur de Chapsvison (notre lettre de novembre 2022),Julien est candidat au rachat de tout ou partie d’Evidian, entité du groupe Atos spécialisée dans la cybersécurité et la dissuasion nucléaire, mise en vente par Atos à 7 G€ pour renflouer sa trésorerie. Mais la partie est loin d’être gagnée car il est en concurrence avec des pointures comme Airbus, Onepoint ou Thalès…

  • Laurent Guillot (X 90), Orpéiste
Laurent Guillot photo Orpea

Né en 1969, Laurent entre à l’X en 1990 et en sort dans les Ponts et chaussées. Après un DEA de macro-économie en 1993 à Paris I, il commence sa carrière en 1996 à la direction de la Prévision du Ministère de l’Economie et des Finances avant de rejoindre en 1999 le cabinet du Ministre de l’Equipement, des Transports et du Logement. Il entre à Saint Gobain en 2002 comme directeur du plan et il en gravit les échelons jusqu’à en devenir DGA en 2019 mais échoue à en être nommé DG lors du départ de Pierre-André de Chalendar en 2021.

Laurent est nommé en juillet 2022 directeur général du groupe Orpéa, leader européen des Ehpad, en remplacement de Yves Le Masne, limogé en janvier 2022 à la suite du scandale créé par les révélations du livre de Victor Castanet Les fossoyeurs, aggravé par des soupçons de délit d’initié. Parallèlement, Guillaume Pépy, ancien pdg de la SNCF, en était nommé président et le professeur Emmanuel Hirsch directeur de l’éthique.

Suite à ce scandale, les finances du groupe ont subi un choc nécessitant une restructuration urgente. A cet effet, Laurent avait 3 mois pour présenter un plan d’amélioration et de transformation. Malheureusement, les négociations entre le consortium d’investisseurs français mené par la Caisse des dépôts et les créanciers financiers du groupe sont au point mort. Nous souhaitons à Laurent de trouver rapidement une solution pour refinancer ses 9 G€ de dette…

  • Mardiros-Dickran Indjoudjian (X 41), visionnaire
Mardiros Dickran Indjoudjian

Né à Paris en 1920, fils de Jeanne Bersani et Meguerditch Indjoudjian, antiquaire arménien qui venait de s’installer en France pour échapper au génocide des Arméniens par les Turcs, Dickran entre en 1941 à l’X, alors repliée à Villeurbanne. Sorti dans les Télécom, il est affecté au CNET qu’il quitte en 1957 après un bref passage en 1953-54 au cabinet de Roger Duchet, ministre des PTT, pour devenir banquier à la direction industrielle de Paribas où il reste jusqu’en 1992. Parallèlement, il a enseigné l’analyse et les statistiques aux Ponts, aux Télécom et à l’ISUP.

Dickran a participé en 1960 à la création de la SEMA, fondée par Jacques Lesourne (X 48) et en était président d’honneur. Il a  été rédacteur en chef de la Jaune et la Rouge et y a longtemps publié des récréations mathématiques et des problèmes de bridge. Il vient de mourir le 1er janvier peu avant de célébrer ses 103 ans. Il avait épousé Georgette Gerbault en 1943 puis, après un divorce en 1985, Marcelle de Caso en 1986. Il a eu 2 enfants : Jean-François et Dominique.

Dans la Jaune et la Rouge 744 d’avril 2019, Pierre Laszlo explique que notre pays lui doit énormément et le qualifie de Mathématicien, Ingénieur, Visionnaire, un de ces per­son­nages qui sus­ci­tent l’admiration dès qu’on les côtoie…

  • Alexandre Moatti (X 78), positiviste
Alexandre_Moatti_(17201303739)

Né en 1959 à Boulogne-Billancourt, Alexandre fait sa prépa à Louis le Grand, entre à l’X en 1978 et en sort dans le Corps des mines. Il passe une thèse de doctorat en histoire des sciences en 2011 sur Coriolis (X 1808). Il a occupé différents postes dans l’administration, dans l’industrie et dans des cabinets ministériels. Il était candidat pour succéder à Jacques Biot (X 71) en 2018 à la direction de l’X mais la commission de sélection lui a préféré Eric Labaye (X 80). Il a été président de la SABIX de 2006 à 2014. Cliquez ici pour voir son CV complet.

Alexandre a écrit de nombreux articles sur le numérique, sur la critique de la science, sur l’enseignement supérieur et les grands corps et de nombreux livres depuis Les Indispensables mathématiques et physiques pour tous (2006) jusqu’à Aux racines du transhumanisme (2020), dont il explique que le précurseur était Jean Coutrot (X 13, notre lettre d’août 2022) en passant par Le Mystère Coriolis (X 1808). Il vient de sortir Regard sur les élites françaises, l’Institut Auguste Comte.

L’Institut Auguste-Comte pour les sciences de l’action est une météorite de l’action publique : voulu par Giscard d’Estaing dès 1974, « chantier du président », il est malheureusement supprimé par Mitterrand à son arrivée au pouvoir en 1981. Pour la petite histoire, l’Institut était installé sur l’ancien site de l’X sur la Montagne Sainte Geneviève, dont l’AX occupait jusqu’à l’année dernière une petite partie, la « boite à claque » et où un centre international de conférences est projeté sous l’égide de LVMH, la même société qui vient de renoncer à installer un centre de recherche sur le plâtal suite à la bronca d’une minorité agissante – à laquelle Alexandre est loin d’être étranger – qui avait déjà réussi à faire fuir TotalEnergies.

  • Patrick Puy (X 75), urgentiste
Patrick Puy

Entré à l’X en 1975, Patrick suit ensuite les cours de l’Ecole nationale supérieure des pétroles et moteurs. Après un début de carrière dans le pétrole (Total puis Schlumberger), il va accumuler une impressionnante série de postes de direction générale dans l’industrie : Legrand, Moulinex-Brandt (2001), TDF France (2010-13), Arc International (2013-15), Spir Communication (2016), Novartex (2016), Vivarte (2016-19), Alès Groupe (2019), avant de lancer, fin 2021, un fonds de retournement baptisé Équerre.

Patrick est le grand spécialiste de la restructuration d’entreprises en grande difficulté financière, avec quelquefois des pots cassés, mais il aime citer Churchill avec la sueur et les larmes ! Après Moulinex, Arc et Vivarte, il vient d’être chargé début janvier, avec la bénédiction de notre ministre de l’industrie Roland Lescure (X 87), de restructurer Go Sport, propriété de HPB (Hermione People and Brands), holding de Michel Ohayon qui a également déposé le bilan de Camaïeu et risque de faire de même avec GAP France et la Grande Récré…

  • Alfred Sauvy (X 20 S), démographe
Alfred Sauvy par Louis Monier – Getty images

Alfred Sauvy, né dans les Pyrénées-Orientales en 1898. Engagé volontaire, son père meurt au front en 1918. Après des études à Perpignan puis à Paris, il est mobilisé en 1917 et est gazé à Villers-Cotteret, ce qui ne l’empêche pas de devenir un grand rugbyman. Il entre à l’X après la fin de la guerre dans la promo 20 spéciale (qui sait aujourd’hui ce que furent les promos S ?). Il en sort dans la Statistique Générale de la France, ancêtre de l’Insee, et devient en 1938 conseiller de Paul Reynaud qui, sur ses recommandations, supprimera la semaine de 40 heures instituée par Léon Blum, qu’il qualifie de contresens économique, passant la durée de travail à 41,5 heures ! Idem pour l’abaissement à 60 ans de l’âge de la retraite par Mitterrand en 1982, qu’il qualifiait de contresens impardonnable.

Economiste, démographe et sociologue. Inlassable dénonciateur des phénomènes de dénatalité et de vieillissement, Alfred Sauvy est à l’origine de la création de l’Institut national d’études démographiques (INED) dont il est le premier directeur (1945-1962).  Il a été professeur à Sciences Po de 1940 à 1959 et titulaire de la chaire de de démographie sociale au Collège de France de 1959 à 1969.

Il a écrit de nombreux ouvrages depuis Richesse et population (1943) jusqu’à La vieillesse des nations (2001) en passant par L’Europe submergée (1987) où il s’inquiète du déséquilibre entre les évolutions démographiques de l’Afrique qui explose et de l’Europe qui implose : « La question du terrorisme venant du Proche-Orient est dérisoire à côté du déséquilibre qui se profile en Méditerranée occidentale… »

Aujourd’hui, les écrits précurseurs de Sauvy sont hélas ignorés des princes qui nous gouvernent. Elisabeth Borne (X 81) n’en a pas dit un mot dans sa présentation de la réforme des retraites le 10 janvier alors que c’est une question centrale pour un système de retraite par répartition, quand on sait que le rapport cotisants/retraités, qui était de 4 en 1960, est aujourd’hui tombé à 1,7.

Notre démographie n’est certes pas aussi catastrophique qu’après la guerre de 14-18, quand une loi de 1920 avait interdit le préservatif afin d’encourager la natalité après les hécatombes sur les champs de bataille mais quand même, il n’y a eu que 723.000 naissances en France en 2022, le plus faible nombre depuis 1946, alors que la population a cru de 40 à 68 millions, soit +70 %, depuis lors. Et encore, il n’est pas politiquement correct de s’interroger sur l’origine ethnique de ces bébés… On peut donc imaginer ce que dirait Sauvy du dévoiement de la loi Veil, traduit par Améli dans un message très clair : En France, toute femme, majeure ou mineure, peut choisir d’interrompre sa grossesse (IVG ou avortement) et des récentes décisions du gouvernement, qu’Améli vient de me rappeler dans un message personnel : Depuis le 1er janvier 2023, les jeunes de moins de 26 ans peuvent se procurer en pharmacie certains préservatifs sans ordonnance et sans avance de frais. Autre nouveauté, les femmes, à tout âge, peuvent aussi obtenir en pharmacie, sans ordonnance et sans avance de frais, une contraception hormonale d’urgence, (appelée aussi « pilule du lendemain »). [qui vient de valoir au professeur Baulieu d’être promu Commandeur de la Légion d’honneur…]. 

J’ai créé le groupe X démographie en 1995 avec l’appui de Jacques Lesourne (X 48). Ce groupe est hélas en état de mort cérébrale et ce ne sont pas les écrits de bien-pensants comme Hervé Le Bras (X 63) qui le feront renaitre de ses cendres.

Alfred Sauvy est mort à Paris en 1990. Le bulletin de la Sabix numéro 63 lui a été consacré en mai 2019 avec une introduction par Pierre Couveinhes (X 70) sous le titre Une pensée d’une brûlante actualité.

N’ayant pas joint le geste à la parole, il n’a eu qu’une fille, Anne, férue d’alpinisme, que j’ai bien connue.

Bis repetita

  • Philippe d’Iribarne (55, notre lettre de mai 22), a parlé aux anciens HEC de son dernier livre (Le Grand déclassement, notre lettre d’octobre 22) le 25 janvier. Son constat lucide et cruel : le sens du devoir pour beaucoup d’entre nous est malmené par de récentes évolutions, à commencer par une soumission croissante à la fois aux caprices des clients et à ceux des chefs…
  •  
  • Paul Vecchiali (53, notre lettre d’avril 22), a tiré sa révérence en janvier 2023. Grand cinéaste, il était entré à l’X en surli (surlimite d’âge, qui sait encore ce que signifie cette abréviation ?) et avait dû commencer sa carrière comme pitaine de ser. On le voit sur la photo ci-dessous, devant la promotion 1959, saluer le général de Gaulle lors du défilé du 14 juillet 1960.
Le général de Gaulle regarde la promo 59 défiler derrière son pitaine Vecchiali

Courrier des lecteurs

  • Merci, cher Hubert Lévy-Lambert, pour ce petit portrait qui me fait rougir. Bien sincèrement, meilleurs voeux de nouvelle année à tes proches et à toi. Jérôme Bastianelli (90). Merci pour ton gentil message. Vu ta promo, j’aurais préféré te faire jaunir que rougir 🙂 PS Entre temps, Alix vient de m’annoncer que c’est sur toi qu’est échue la lourde succession des portraits de Pierre Laszlo. Tu avais donc des moments perdus 🙂 Bonne année ! HLL
  • Merci, Hubert. Excellent. Je vais suggérer à ma fille de s’abonner aussi. Jacques Biot (71). Pas de problème, même si elle n’est pas dans la tranche d’âge de 7 à 77 ans 😊 HLL
  • Merci cher camarade, on continue à faire des découvertes Jean de Bodman (69)
  • Merci de ce portrait très sympa. Deux remarques – j’ai été « élu » à l’Académie des sciences (pas « nommé ») – dans la formulation on peut penser que c’est mon article qui est une stupidité, alors que c’est l’arrêt de la filière RNR qui est  » un modèle de stupidité ou de cynisme ». Navré que Michel Berry t’ait récusé… Bien cordialement Yves Bréchet (81) Corrigé. HLL
  • Mon cher camarade, voici une présentation vraiment sympathique. Je vois deux pistes de corrections… Avec mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Erwan Chauty (94). Corrigé. HLL
  • Cher Hubert, Décidément, jamais deux sans trois.    Toi d’abord, Pierre Laszlo ensuite, et de nouveau toi. Doux poison des éloges ! Je suis partagé entre la satisfaction et la confusion.,. Mais je n’oublie pas ce que disait Talleyrand : « Rien de ce qui est exagéré n’est signifiant ».   Merci quand même.   Amicalement François Mayer (45).  

Vous connaissez des Xtraordinaires ? Signalez-les moi !

Merci d’avance et bonne lecture !

Hubert Lévy-Lambert (X 53), fondateur de X Démographie

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