Portraits de polytechniciens Xtraordinaires #24

« Il ne suffit pas d’entrer à l’X pour sortir de l’ordinaire »

De Julien Chaumond à Nicolas Truelle en passant par Philippe Jost et d’autres, voici la dernière moisson de polytechniciens, jeunes et vieux, qui ont attiré mon attention au cours du mois écoulé.

  • Julien Chaumond (X 03), hugger
Julien Chaumond

Entré à l’X en 2003, Julien en sort dans les Télécom qui l’envoient faire de la recherche sur les bases de données à Stanford, où il rencontre un des fondateurs de youtube. En 2013, il quitte les Telecom pour co-créer Glose à New York. De retour à Paris, il passe un an chez Stupeflix une start-up qui est acquise par Gopro. Après quelques mois au Ministère des finances, il se met à son compte en créant avec Clément Delangue et Thomas Wolf (X 03) Hugging Face, une plate-forme d’IA initialement destinée aux ados (d’où son nom et son logo) et développant maintenant des outils open source sur laquelle la communauté d’apprentissage automatique (machine learning) collabore sur des modèles, des jeux de données et des applications.

Parmi les initiatives remarquables de Hugging face, on peut citer la création des librairies open source comme transformers ou datasets, et surtout le développement d’une plateforme collaborative appelée le Hub qui est un service similaire à GitHub mais spécifique pour l’IA.

Après avoir levé 40 M$ en 2021 et 100 M$ en 2022, Hugging face récidive en levant 235 M$ en 2023 auprès d’un impressionnant tour de table d’acteurs clés de l’IA comme Amazon, Google, Intel ou Nvidia, ce qui la valorise autour de 4,5 G$. Ouverte et agnostique contrairement à son concurrent Open AI, Hugging face a des clients prestigieux comme Meta, Pfizer ou Renault. Avec près de 200 salariés, moitié à New York, moitié à Paris, Julien montre que la vieille Europe a encore quelques atouts sur le plan intellectuel ! Bravo Julien, continue !!

  • Alexei Grinbaum (X 99), philosophe
Alexei Grinbaum

Né en 1978 à St Pétersbourg, alors appelée Léningrad, fils d’Oleg Greenbaum, docteur en philologie, Alexei fait ses études secondaires au célèbre lycée 239 et commence sa formation universitaire au SPbGU (Санкт-Петербургский Государственный Университет). Il entre à l’X en 1999 pour y faire des études avec la promo 97, en tant qu’auditeur du Programme international et soutient sa thèse de doctorat en philosophie des sciences au Centre de recherche en épistémologie appliquée de l’X en 2004. La même année, il obtient une maîtrise au Département de physique des hautes énergies et des particules élémentaires de l’Université de St Pétersbourg !

Après une formation complémentaire au CNRS Nancy, il entre au CEA en 2006 comme directeur de recherche. Il est depuis peu président de son Comité opérationnel pilote d’éthique du numérique et co-rapporteur pour les avis sur les questions éthiques de l’IA générative et des agents conversationnels.

Physicien et philosophe, Alexei donne depuis des années des cours sur les questions éthiques liées aux nouvelles technologies liées à la mécanique quantique, nanotechnologies, intelligence artificielle et robotique, à l’ENSTA (2008-20), à l’université d’Evry (2015-19) et à l’INRIA (2017-21), à Pasteur (2016-22) ainsi qu’à Centrale (depuis 2017), Paris-Diderot (depuis 2019) et plus récemment Sciences Po, Dauphine et Cachan. Il est également membre du CNPEN (comité national pilote d’éthique du numérique) et expert à la Commission européenne.

Alexei a écrit de nombreux articles et plusieurs ouvrages qui sont tout à fait d’actualité, dont Mécanique des étreintes : intrication quantique (2014, la Jaune et la Rouge de septembre 2014), Les robots et le mal (2019) et, tout récemment, suite au succès de ChatGpt, Parole de machines, dialoguer avec une IA (2023). On aimerait avoir son avis sur son compatriote Igor Bredev, dont le hasard nous a conduit à parler plus bas (cf infra) ?

  • Philippe Jost (X 80), reconstructeur
Philippe Jost (c) Romaric Toussaint

Né en 1960 de parents professeurs d’allemand et de lettres classiques, Philippe entre à l’X en 1980 et en sort dans l’Armement. A sa sortie de l’X, en plus de l’Ecole nationale supérieure des techniques avancées (ENSTA), mû sans doute par un sentiment de prédestination, il passe 3 ans à l’Ecole du Louvre avant d’entrer à la direction générale de l’Armement (DGA) en 1985. Il passe en 1995 à la division force nucléaire de l’état-major des armées. Après une formation complémentaire à la Harvard Kennedy School of Government suivie d’une année au Centre des hautes études de l’Armement en 1998, Philippe est nommé en 1999 sous-directeur de la politique d’exportation de la DGA puis sous-directeur des affaires industrielles en 2001. En 2005, il est nommé chef du service des affaires industrielles et de l’intelligence économique et, en 2006, directeur des plans, du budget et de la gestion de la DGA. A partir de 2013, Philippe quitte la DGA pour enseigner les mathématiques.

Après l’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris le 15 avril 2019, dont beaucoup de gens peinent à croire qu’il s’agit vraiment d’un accident, Philippe est nommé bras droit du général Georgelin qui dirige avec maestria l’Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. A la suite du décès accidentel du général Georgelin le 18 août dans les Pyrénées, Philippe lui succède le 7 septembre avec pour tâche de rouvrir la cathédrale comme prévu fin 2024. Nous lui souhaitons un plein succès.

A l’heure des ignobles critiques concernant le don de 10 M€ de Bernard Arnault (X 69) aux Restaurants du Cœur, il n’est pas inutile de rappeler que notre généreux camarade a contribué pour 200 M€ aux travaux de restauration de Notre-Dame.

  • Sarah Lamaison (X 12), décarboneuse
Sarah Lamaison

Originaire du Pays basque, où elle participe régulièrement à l’Université d’été de l’association Du Pays Basque aux Grandes Ecoles, Sarah entre à l’X en 2012 après une prépa à Sainte-Geneviève. Elle s’y spécialise en chimie organique, tout en participant au binet Raid multisport.  Sortie dans le corps des Ponts, elle passe un Master en économie à Paris-Saclay. Elle passe quelques mois à l’Université de Californie à San Diego en 2015 puis part à Cambridge en 2016 pour étudier la photosynthèse artificielle. De retour à Paris, elle fait sa thèse au Collège de France sur les techniques catalytiques de conversion du CO2 puis, infatigable, elle part à Stanford en 2020 pour un post-doctorat de chimie industrielle. 

En janvier 2021, Sarah pose son baluchon et crée avec David Wakerley, qu’elle a rencontré à Cambridge, la société Dioxycle, un pionnier de la chimie durable installé en France et en Californie, qui vient de faire une levée de fonds de 17 M$ auprès de grands investisseurs spécialisés.

Dioxycle s’appuie sur des technologies d’électrolyse révolutionnaires pour convertir les émissions industrielles de CO2 en produits chimiques utiles, notamment en éthylène, avec une efficacité énergétique et économique sans précédent. Son ambition est de recycler plus de 600 Mt de CO2 chaque année. C’est énorme mais ce n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan des 3.000 Gt que l’espèce humaine a déversées dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle, auxquelles nous ajoutons 30 Gt chaque année. C’est toutefois un bon début quand on sait que les seules solutions pour se débarrasser du CO2 sont planter des arbres, mais les hommes en détruisent plus, le capter dans les océans, mais le solde est-il positif ou l’enfouir sous terre, mais est-ce durable ?

Sarah a reçu en 2020 le prix Jeunes talents L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science et fait partie des nominés du Palmarès des inventeurs paru dans Le Point du 22 juin. Toutes nos félicitations et nos vœux de réussite. L’avenir de la planète en dépend !

  • Thierry Schwab (X 66), galeriste
Thierry Schwab devant le Plaideur de David Daoud

Né à Paris en 1947, fils de Marc Fontenoy, avocat devenu auteur-compositeur, Thierry fait ses études aux lycées Claude Bernard puis Louis le Grand avant d’intégrer l’X en 66. Après 2 ans chez IBM puis 4 ans dans le Groupe Maurice Vidal, il se met à son compte en 1975 comme consultant en informatique et en organisation et crée en 1982 Picodata, une société de conseil et de service en informatique, dont une filiale nommée Webnet deviendra l’une des premières entreprises françaises d’ingénierie internet.

Grand amateur d’art et de poésie, Thierry, qui avait créé en 1996 Bonjour Poésie, un site web consacré à la poésie francophone, cède sa société en 2008 et ouvre en 2011, aidé de son fils Edouard, une galerie spécialisée dans l’art contemporain, qui n’hésite pas à innover en exposant des tableaux peints par IA !

J’habite depuis longtemps à deux pas de sa galerie qui est au 35 rue Quincampoix, tout près de Beaubourg mais il a fallu que Jean Sousselier (X 58, président de X Mines Auteurs) envoie aux membres de XMA une invitation au vernissage de l’exposition David Daoud (Réminiscences, jusqu’au 23 septembre) pour que je le découvre ! Mais je le reverrai le 25 novembre au Salon du livre polytechnicien (Mairie du VIème) où il aura un stand en tant qu’éditeur (L’ombre rouge) et en tant qu’auteur de romans de fiction qui font réfléchir, comme Un si lointain passé : recueil de nouvelles étranges, dont Jean d’Ormesson a beaucoup aimé la première et deux romans visionnaires dans lesquels l’IA joue un grand rôle : L’étrange histoire d’Igor Bredev, un robot russe demandeur d’asile en France ; Optima 2121 : le monde dans 100 ans, si proche, si différent. Quand je pense qu’au début de ma carrière, on préparait sérieusement des Réflexions pour 1985. Même Thierry Gaudin (X 59) peut aller se rhabiller avec son groupe Prospective 2100 !

  • Nicolas Truelle (X 80), apprenti
Nicolas Truelle

Né en 1961 à Belfort où son père Yves Truelle (X 47, Supéléc, mort en 2018) dirigeait l’usine d’Alsthom, Nicolas entre à l’X en 80 après une prépa à Louis le Grand. Il en sort dans le corps des mines qui l’envoie à l’Ecole des mines, où il ressent, nous dit-il, sa première vraie émotion économique pendant le cours de Claude Riveline (X 56, ma lettre du 16 mai). Il commence sa carrière de fonctionnaire en 86 à la DRIR et au SGAR de Haute Normandie. Il passe en 89 à la direction générale de l’Industrie et devient l’année suivante directeur de cabinet du directeur général. Il pantoufle chez Sanofi en 92 comme directeur d’un établissement avant d’en devenir DRH en 95, puis Pdg de Sanofi Pasteur en 97 et adjoint au directeur Europe en 99. Il quitte la santé en 2000 pour entrer chez Via Location comme DG puis président du directoire. Il change à nouveau d’activité en 2010 en devenant associé de Weinberg Capital qui a pris le contrôle de Via Location.

En 2015, Nicolas, qui était devenu peu avant administrateur de l’Arche, association qui accompagne les handicapés adultes, décide de quitter délibérément le secteur capitaliste pour entrer dans le secteur philanthropique en devenant directeur général des Apprentis d’Auteuil. L’objectif de cette fondation chrétienne qui vient de fêter son sesquicentenaire est, nous dit-il, « accompagner jeunes et familles fragilisés, les accueillir, participer à leur éducation, à leur formation et à leur insertion sociale et professionnelle ». Il est cousin éloigné de Jacques Truelle, diplomate français récemment célébré par le Mémorial de la shoah pour son action en faveur des juifs persécutés pendant la guerre, alors qu’il était en poste à Bucarest. Bon sang ne saurait mentir !

Père de 7 enfants et grand-père de 4 garçons, Nicolas a été nommé chevalier de la Légion d’honneur l’année dernière. Toutes nos félicitations pour cet honneur mérité et tous nos vœux de réussite dans ses fonctions dont l’importance croit exponentiellement, comme on le voir en ce moment avec les problèmes des Restos du Cœur.

Laura Chaubard inaugure l’exposition Poincaré

Actualités

  • Les petits papiers : tel est le titre de la page que la Jaune et la Rouge consacre dorénavant à mes portraits. Pour commencer, vous pouvez trouver dans le numéro d’août-septembre les portraits de Sébastien Bohler (X 92, ma lettre du 21 juin) et de Pascale Sourisse (X 81, ma lettre du 22 avril). Merci à Michel Berry (X 63), président du comité éditorial, qui a décidé, après mûre réflexion, d’adhérer à la branche lévy-lambertiste du Parti d’en rire 😊. Je suis certes, comme Pierre Dac, pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour, mais je ne qualifierais pas mes papiers de hilarants ! En tout cas, avec 180 portraits au compteur à ce jour depuis le début de l’année dernière, l’avenir de cette nouvelle rubrique est assuré au moins jusqu’à mon centenaire !
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  • Technocratisme, tel est le titre du nouveau livre d’Alexandre Moatti (X 78, ma lettre du 26 janvier). Sous-titré Les grands corps à la dérive, ce livre nous propose une plongée dans le monde de la technocratie, dont il retrace l’histoire et dénonce les dérives. La moitié des dirigeants du CAC 40, trois présidents de la République sur quatre depuis 30 ans sont issus des grands corps. Ceux-ci avaient jusqu’ici peu été étudiés en tant que tels. Ceux qui connaissent Alexandre ne seront pas étonnés que son analyse soit engagée, bien que lui-même soit membre d’un des corps qu’il fustige : relisant les 30 dernières années au prisme de l’action de ces corps, il montre leur intrication ontologique avec le néo-libéralisme. Elève de Maurice Allais (X 31) et fondateur de X Sursaut, lointain successeur de X Crise, je connais les défauts du libéralisme que je considère pourtant, pour paraphraser Churchill, comme le pire des systèmes à l’exception de tous les autres.
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  • L’exposition sur Henri Poincaré (X 1873, ma lettre de juin), modèle du savant universel, a été inaugurée le 7 septembre par Laura Chaubard (X 99), DGA de l’X et sans doute DG par intérim en attendant la nomination du successeur d’Eric Labaye (X 80), Frédéric Brechenmacher, professeur d’histoire des sciences et Kees Van der Beek, nouveau directeur de la recherche, avec l’intervention de la chorale des élèves dirigée par Me Patrice Holiner, dans des chants de carva que Poincaré a pu entendre dans sa carrière d’enseignant à l’X ! Vous pouvez lire dans Les Echos du 15 septembre un bel article sur cette exposition ouverte en semaine de 9 h à 17 h jusqu’au 22 décembre. Félicitations à Olivier Azzola et à toute l’équipe du Mus’X pour ce beau travail complété par un catalogue de 113 pages en vente sur place ou en s’adressant à la Sabix.
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  • La Maison Poincaré, le lieu où les maths prennent vie, ouvre ses portes le samedi 30 septembre. Ce n’est pas un hasard du calendrier si elle est inaugurée en septembre comme l’expo du Musix car on fête cette année le sesquicentenaire de la promo de Poincaré ! Sur 900 m2 en plein centre de Paris, divisés en 7 espaces (modéliser, devenir, partager, inventer, connecter, visualiser, respirer), on peut découvrir l’influence des mathématiques sur notre société et dans notre quotidien. Un bon complément à l’exposition temporaire du Musix ! Cliquez ici pour plus de détails.
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  • La cinquième chaine nous présentait le 12 septembre Patrimoine, de vieilles pierres très précieuses, un documentaire de 52’ de Valentine Amado donnant le portrait de quelques entrepreneurs passionnés par la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine. On y voyait notamment Kleber Rossillon (X 73, ma lettre du 25 février) dont la société gère pas moins de 12 lieux culturels,aussi variés que le musée de Montmartre, la grotte Chauvet 2, le château de Suscinio, la tour de Crest, le château de Murol, le site de Waterloo ou le train de l’Ardèche.
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  • Le Laboratoire interdisciplinaire de l’X (LinX) organise un colloque sur L’anthropocène, la fin de l’homme ? les 28 et 29 septembre à l’X (Amphi Becquerel). On se demande si le point d’interrogation n’est pas de trop ? 😊 Cliquez ici pour plus de détails.
Sylvie Benzoni, drectrice de l’Institut Poincaré
Kleber Rossilllon dans son train de l’Ardèche

Courrier des lecteurs

  • Cher camarade, je me permets de te signaler notre camarade Florian Coupé (X 06), qui je crois mérite de figurer dans ta longue liste. Il y a eu de nombreux reportages sur la Cyclodyssee cet été… personnellement je trouve que les valeurs de dépassement de soi, de rencontre et d’aventures méritent d’être montrées en exemple ! Bien à toi. Nathalie Charles (X 84). Tes désirs sont des ordres ! HLL
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  • Merci pour ces intéressants rappels, mais JJSS n’est-il pas pour le XX° siècle un prototype de la « légèreté » française, avec ses qualités et défauts…? Jean de Bodman (X 69).
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  • Cher camarade, cher Hubert, Merci pour tes portraits, toujours très vivants et intéressants. Tu demandes de signaler d’éventuels X-traordinaires, as-tu entendu parler de Henri Grimond (46), à l’origine du projet actuel du Tunnel sous la Manche ? Il est malheureusement décédé, il n’aurait peut-être pas aimé être mis en aucune sorte de lumière, mais j’ai toujours trouvé qu’il était X-traordinaire. Amicalement, Gérard Cohen (X 70). Bien noté, merci, je le mets sur la liste d’attente. HLL
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  • Cher Hubert, Merci beaucoup d’avoir ainsi croqué notre portrait ! C’est un beau cadeau. A très vite pour plus de nouvelles sur les qubits! Très belle journée, Pierre Desjardins (X 08).
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  • Merci Hubert pour la bio, et tous les portraits passionnant que tu as faits. Je reçois déjà des courriels de camarades, preuve s’il en était besoin que tu as une belle audience ! Camaradement. Ivan Gavriloff (X 81).
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  • Merci cher Hubert de ces riches moissons estivales. Torpeur et canicule n’ont donc pas raison de ton énergie inépuisable ! Découvreur de talents si divers, à la plume si affûtée. Amicalement. Philippe Georges (X 79)
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  • Merci pour ce portrait spécial [JJSS] très intéressant… Olivier Herz (X 79).
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  • Merci de cet excellent portrait de JJSS. Tu m’apprends beaucoup de choses que je ne connaissais pas de lui. Michel Marx (X 57).
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  • Bravo cher Hubert pour le portrait de ce personnage [JJSS] ; j’ai croisé sa route lorsque j’étais à la Délégation à l’Aménagement du Territoire et je vais essayer de t’en faire le récit – pour toi. F. de Wissocq (X 53). Avec plaisir HLL
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Vous connaissez des Xtraordinaires ? Signalez-les moi !

Merci d’avance et bonne rentrée !

Hubert Lévy-Lambert (X 53), fondateur de X Démographie, groupe hélas en léthargie

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8 commentaires

  1. cher camarade Lévy-Lambert,
    je te suggère pour ta prochaine moisson de l’accompagner d’un dictionnaire de façon à rendre compréhensible des paragraphes tels que :
    « Parmi les initiatives remarquables de Hugging face, on peut citer la création des librairies open source comme transformers ou datasets, et surtout le développement d’une plateforme collaborative appelée le Hub qui est un service similaire à GitHub mais spécifique pour l’IA. »
    Le français reste la langue de la République et donc de l’X, non ?
    « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots (français) pour le dire arrivent aisément » Non ?
    amicalement.
    J.-P. Guitton (61)

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