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POURQUOI DONNER A LA FONDATION DE L’X ?

Chers camarades,

La Fondation de l’X m’a demandé quelques mots pour inciter les polytechniciens à donner de l’argent à leur fondation. Voici ce que j’ai dit en substance sur une vidéo qui sera bientôt mise en ligne par la Fondation.

Je ne suis pas né avec une cuiller d’argent dans la bouche. Mon père est mort pour la France en 1944, laissant ma mère seule avec 6 enfants de 2 à 17 ans.

Pupille de la Nation, Boursier puis taupin, polytechnicien et mineur, j’ai bénéficié de ce que la France offre à ses enfants méritants et je considère de mon devoir de renvoyer l’ascenseur. C’est pour moi une obligation morale doublée d’un grand plaisir. C’est aussi une nécessité absolue  car les finances publiques sont exsangues.

Je suis donc donateur de la Fondation de l’X depuis sa création en 1987 par Bernard Esambert (X 54) tant à titre personnel (Poincaré Or) qu’à titre collectif, avec une bourse créée en 1994 avec X Israël pour un jeune israélien et une bourse créée en 2006 avec ma promo pour une jeune d’Europe de l’Est sans parler d’initiatives personnelles comme la monument aux morts ou le musée de l’X.

Accompagnant mon épouse au 50ème anniversaire de sa promo à Vassar (NY) en 2006, j’ai été frappé par l’enthousiasme des alumni pour financer leur alma mater, grâce à l’organisation de réunions annuelles sur le campus pour toutes les promos fêtant un multiple de 5.

Lors d’une réunion de collecte chez Olivier Mitterrand (X 62) en 2012, j’ai fait part de mon expérience à Véronique Giacomoni et j’ai été encouragé à organiser une telle réunion en 2013 pour célébrer toutes les promos en 3. Le grand magnan était né. Après 3 années réussies, il est hélas aujourd’hui en état de mort cérébrale après avoir été détourné de son ambition initiale.

Il faudrait en reprendre l’idée qui était de montrer aux anciens lors d’une journée ou d’un week-end dédié, ce que devient leur école et ce qui est fait avec leur argent. Il y a du pain sur la planche. Sans parler des fondations des universités américaines, dont 100 M$/an levés par la petite université Vassar de mon épouse, HEC nous montre l’exemple avec un objectif de 200 M€ sur la période 2019-24, dont 88 M€ déjà levés en 2 ans…

A vos carnets de chèques !

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